lundi 8 septembre 2014

Nos pires voisins


En attente pour la Mort aux Trousses, j’en profite pour rédiger ce petit billet sur « Nos pires voisins ».
D’ores et déjà, il n’y a aucune surprise. Encore un film qui dévoile tout lors de la bande-annonce.
Des jeunes parents s’installent dans leur nouvelle maison. Ils découvrent très vite qu’ils ont pour voisins des jeunes étudiants membres d’une confrérie universitaire. Ceux-ci constituent une ombre au tableau des nouveaux propriétaires.
En effet ils sont persuadés que le voisinage des jeunes étudiants va s’avérer bruyant et tapageur. Ils ne vont pas être déçus. La guerre est déclarée entre les deux voisins.
Durant toute la séance, ce ne sera que fêtes et paris stupides. Tout cela pour faire partie de la promotion qui marquera les mémoires de la confrérie, comme l’ont fait leurs « frères » avant eux.

Verdict : le film remplit son contrat. On devine le début et la fin du film dès les cinq premières minutes. Les gags et les dialogues font sourire et on s’amuse des réactions et dialogues assez débiles parfois.
Nous retrouvons Zac Efron dans le rôle du président de la confrérie. Il est aussi musclé qu’inventif pour parvenir à ses fins et propulser la confrérie au sommet. Ce président prêt à tout pour y réussir va parfois trop loin. Mais derrières ses actions puériles et dénuées d’intérêt se cachent un étudiant qui s’ennuie et qui n’est pas encore prêt à entrer dans le monde des adultes.

Zac Efron ne m’a pas impressionnée dans ce film. Il est vrai que son rôle  n’a rien d’extraordinaire, mais il lui faudra beaucoup plus que quelques abdominaux biens sculptés pour faire partie des jeunes acteurs qui montent.
Ces choix de films devraient être plus pointus et il devrait se faire remarquer par son jeu plutôt que par sa coupe de cheveux. Bref, il ne suscite pas beaucoup d'intérêt chez moi.
Zac, j’attends vraiment mieux de toi. A bon entendeur, salut.

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