En
attente pour la Mort aux Trousses, j’en profite pour rédiger ce petit billet
sur « Nos pires voisins ».
D’ores
et déjà, il n’y a aucune surprise. Encore un film qui dévoile tout lors de la
bande-annonce.
Des
jeunes parents s’installent dans leur nouvelle maison. Ils découvrent très vite
qu’ils ont pour voisins des jeunes étudiants membres d’une confrérie
universitaire. Ceux-ci constituent une ombre au tableau des nouveaux
propriétaires.
En
effet ils sont persuadés que le voisinage des jeunes étudiants va s’avérer
bruyant et tapageur. Ils ne vont pas être déçus. La guerre est déclarée entre
les deux voisins.
Durant
toute la séance, ce ne sera que fêtes et paris stupides. Tout cela pour faire
partie de la promotion qui marquera les mémoires de la confrérie, comme l’ont
fait leurs « frères » avant eux.
Verdict : le film remplit son contrat. On devine le début
et la fin du film dès les cinq premières minutes. Les gags et les dialogues
font sourire et on s’amuse des réactions et dialogues assez débiles parfois.
Nous
retrouvons Zac Efron dans le rôle du président de la confrérie. Il est aussi
musclé qu’inventif pour parvenir à ses fins et propulser la confrérie au
sommet. Ce président prêt à tout pour y réussir va parfois trop loin. Mais
derrières ses actions puériles et dénuées d’intérêt se cachent un étudiant qui
s’ennuie et qui n’est pas encore prêt à entrer dans le monde des adultes.
Zac
Efron ne m’a pas impressionnée dans ce film. Il est vrai que son rôle n’a
rien d’extraordinaire, mais il lui faudra beaucoup plus que quelques abdominaux
biens sculptés pour faire partie des jeunes acteurs qui montent.
Ces
choix de films devraient être plus pointus et il devrait se faire remarquer par
son jeu plutôt que par sa coupe de cheveux. Bref, il ne suscite pas beaucoup
d'intérêt chez moi.
Zac,
j’attends vraiment mieux de toi. A bon entendeur, salut.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire