mercredi 3 septembre 2014

Nos étoiles contraires




Je n’ai pas versé une seule larme ! Tout le monde m’avait prévenue.
Fais attention, ce film est touchant, tout le monde a pleuré en le voyant. Avec comme fond de toile, une histoire de maladie et d’amour, je pensais que moi aussi je serai touchée. Que nenni !
Pas une goutte, pas un snif, pas de mouchoirs, même pas un petit « oh que c’est triste » !
De toute façon, je n’ai jamais pleuré au cinéma, sauf pour le Roi Lion. Mais bon, quand vous regardez ce film à l’âge de dix ans, c’est inévitable, vous pleurez forcément.

Tout cela pour vous dire que oui, c’est une belle histoire et que oui, elle est triste. Mais le lien avec les personnages s’est difficilement opéré, je pense que c’est pour cela que leur condition ne m’a pas bouleversée outre-mesure.
Et puis, cette histoire n’est pas faite pour pleurer ! C’est une leçon de courage, c’est une philosophie de vie.
Il faut toujours chercher plus loin, toujours croire à l’amour et ne se décourager de rien, même si fatalement, le pire peut arriver.
La maladie qui touche ces jeunes adultes, le cancer qui les rassemble mais aussi qui va les séparer, nous rappelle que la vie est courte et qu’il faut la vivre de la meilleure façon possible.
Elle nous rappelle aussi que c’est un mal avec lequel notre génération doit se débattre. Et c’est ça qui fait vraiment froid dans le dos.

Bref, inspirons-nous de la bonne humeur, du courage et de l’amour qui émanent de ce film et essayons de faire de même. 
Pleurer, c’est pour les chochottes !

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